Samedi de la 2e semaine du Carême
Samedi 22 mars 2025
3ème classe
INTROÏT Psaume 18, 8
Lex Dómini irreprehensíbilis, convértens ánimas : testimónium Dómini fidéle, sapiéntiam præstans párvulis. Ps. 18 Cæli enárrant glóriam Dei : et ópera mánuum eius annúntiat firmaméntum. ℣. Glória Patri.
La loi du Seigneur est irréprochable, elle convertit les âmes ; le témoignage du Seigneur est vrai, il donne la sagesse aux petits. Ps. 18 Les cieux racontent la gloire de Dieu, et le firmament publie les œuvres de ses mains. ℣. Gloire...
COLLECTE
Da, quǽsumus, Dómine, nostris efféctum ieiúniis salutárem : ut castigátio carnis assúmpta, ad nostrárum vegetatiónem tránseat animárum. Per Dóminum.
Donnez à nos jeûnes, nous vous en prions, Seigneur, un effet salutaire, en sorte que la mortification de la chair que nous entreprenons tourne à la vivification de nos âmes. Par...
LECTURE du livre de la Genèse 27, 6-39
In diébus illis : Dixit Rebécca fílio suo Iacob : Audívi patrem tuum loquéntem cum Esau fratre tuo, et dicéntem ei : Affer mihi de venatióne tua, et fac cibos, ut comédam et benedícam tibi coram Dómino, ántequam móriar. Nunc ergo, fili mi, acquiésce consíliis meis : et pergens ad gregem, affer mihi duos hædos óptimos, ut fáciam ex eis escas patri tuo, quibus libénter véscitur : quas cum intúleris et coméderit, benedícat tibi, priúsquam moriátur. Cui ille respóndit : Nosti, quod Esau, frater meus, homo pilósus sit, et ego lenis : si attrectáverit me pater meus et sénserit, tímeo, ne putet me sibi voluísse illúdere, et indúcam super me maledictiónem pro benedictióne. Ad quem mater : In me sit, ait, ista male díctio, fili mi : tantum audi vocem meam, et pergens affer quæ dixi. Abiit, et áttulit, dedítque matri. Parávit illa cibos, sicut velle nóverat patrem illíus. Et véstibus Esau valde bonis, quas apud se habébat domi, índuit eum : pelliculásque hædórum circúmdedit mánibus, et colli nuda protéxit. Dedítque pulméntum, et panes, quos cóxerat, trádidit.
Quibus illátis, dixit : Pater mi ! At ille respóndit : Audio. Quis es tu, fili mi ? Dixítque Iacob : Ego sum primogénitus tuus Esau : feci, sicut præcepísti mihi : surge, sede, et cómede de venatióne mea, ut benedícat mihi ánima tua. Rursúmque Isaac ad fílium suum : Quómodo, inquit, tam cito inveníre potuísti, fili mi ? Qui respóndit : Volúntas Dei fuit, ut cito occúrreret mihi quod volébam. Dixítque Isaac : Accéde huc, ut tangam te, fili mi, et probem, utrum tu sis fílius meus Esau, an non. Accéssit ille ad patrem, et palpáto eo, dixit Isaac : Vox quidem vox Iacob est, sed manus manus sunt Esau. Et non cognóvit eum, quia pilósæ manus similitúdinem maióris exprésserant. Benedícens ergo illi, ait : Tu es fílius meus Esau ? Respóndit : Ego sum. At ille : Affer mihi, inquit, cibos de venatióne tua, fili mi, ut benedícat tibi ánima mea. Quos cum oblátos comedísset, óbtulit ei étiam vinum. Quo hausto, dixit ad eum : Accéde ad me, et da mihi ósculum, fili mi. Accéssit, et osculátus est eum. Statímque ut sensit vestimentórum illíus fragrántiam, benedícens illi, ait : Ecce, odor fílii mei sicut odor agri pleni, cui benedíxit Dóminus. Det tibi Deus de rore cæli, et de pinguédine terræ abundántiam fruménti et vini. Et sérviant tibi pópuli, et ad orent te tribus : esto dóminus fratrum tuórum, et incurvéntur ante te fílii matris tuæ. Qui male díxerit tibi, sit ille maledíctus : et qui benedíxerit tibi, benedictiónibus repleátur.
Vix Isaac sermónem impléverat, et egrésso Iacob foras, venit Esau, coctósque de venatióne cibos íntulit patri, dicens : Surge, pater mi, et cómede de venatióne fílii tui, ut benedícat mihi ánima tua. Dixítque illi Isaac : Quis enim es tu ? Qui respóndit : Ego sum fílius tuus primogénitus Esau. Expávit Isaac stupóre veheménti, et ultra quam credi potest, admírans, ait : Quis ígitur ille est, qui dudum captam venatiónem áttulit mihi, et comédi ex ómnibus, priúsquam tu veníres ? Benedixíque ei, et erit benedíctus. Audítis Esau sermónibus patris, irrúgiit clamóre magno, et consternátus, ait : Bénedic etiam et mihi, pater mi. Qui ait : Venit germánus tuus fraudulénter, et accépit benedictiónem tuam. At ille subiunxit : Iuste vocátum est nomen eius Iacob : supplantávit enim me en áltera vice : primogénita mea ante tulit, et nunc secúndo surrípuit benedictiónem meam. Rursúmque ad patrem : Numquid non reservásti, ait, et mihi benedictiónem ? Respóndit Isaac : Dóminum tuum illum constítui, et omnes fratres eius servitúti illíus subiugávi : fruménto et vino stabilívi eum, et tibi post hæc, fili mi, ultra quid fáciam ? Cui Esau : Num unam, inquit, tantum benedictiónem habes, pater ? mihi quoque óbsecro ut benedícas. Cumque eiulátu magno fleret, motus Isaac, dixit ad eum : In pinguédine terræ, et in rore cæli désuper erit benedíctio tua.
En ces jours-là, Rébecca dit à son fils Jacob : « J'ai entendu ton père qui parlait ainsi à Ésaü, ton frère : Apporte-moi du gibier, et fais-moi un mets que je mangerai ; et je te bénirai devant le Seigneur avant ma mort. Maintenant donc, mon fils, obéis à ma parole, et fais ce que je te commande. Va me prendre au troupeau deux beaux chevreaux ; j'en ferai pour ton père un mets selon son goût ; et tu le porteras à manger à ton père, afin qu'il te bénisse avant sa mort. » Jacob répondit à sa mère : « Tu sais qu'Ésaü, mon frère, est velu, et moi j'ai la peau lisse. Si mon père vient à me toucher et qu'il s'en aperçoive, j'ai peur qu'il ne croie que j'ai voulu me jouer de lui, et je ferai venir sur moi la malédiction au lieu de la bénédiction. » Sa mère lui dit : « Que cette malédiction, mon fils, retombe sur moi. Obéis-moi seulement et va me chercher ce que je t'ai dit. » Jacob alla prendre les chevreaux et les apporta à sa mère, qui fit un mets comme elle savait être du goût de son père. Ensuite Rébecca prit les vêtements d'Ésaü, les plus beaux qu'elle avait dans la maison, et les fit mettre à Jacob. Elle couvrit ses mains de la peau des chevreaux, ainsi que la partie découverte de son cou. Et elle lui remit le mets et les pains qu'elle avait préparés.
Il porta le tout devant son père, et dit : « Mon père ! » Et Isaac dit : « J'écoute. Qui es-tu, mon fils ? » Jacob répondit : « Je suis Ésaü, ton fils aîné ; j'ai fait ce que tu m'as dit. Lève-toi, je te prie, assieds-toi, et mange de ma chasse, afin que ton âme me bénisse. » Isaac dit à son fils : « Comment, mon fils, as-tu pu trouver si vite ? » Et Jacob répondit : « Dieu a voulu que ce que je désirais se présente aussitôt à moi. » Isaac dit à Jacob : « Approche donc, afin que je te touche, mon fils, pour savoir si tu es mon fils Ésaü, ou non. » Jacob s'approcha de son père, qui le toucha et dit : « La voix est la voix de Jacob, mais les mains sont les mains d'Ésaü. » Il ne le reconnut pas, parce que ses mains velues ressemblaient à celles de son aîné. Le bénissant, il dit : « C'est toi qui es mon fils Ésaü ? » Et Jacob répondit : « C'est moi. » Isaac dit : « Sers-moi de ton gibier, mon fils, et que mon âme te bénisse. » Jacob le servit, et il mangea ; il lui apporta aussi du vin, et il but. Alors Isaac, son père, lui dit : « Approche donc, et embrasse-moi, mon fils. » Jacob s'approcha et l'embrassa. Isaac sentit l'odeur de ses vêtements ; et il le bénit en disant : « Voici l'odeur de mon fils, comme l'odeur d'un champ fertile que le Seigneur a béni. Que Dieu te donne, de la rosée du ciel et de la graisse de la terre, du blé et du vin en abondance. Que des peuples te soient soumis, et que des nations se prostèrent devant toi. Sois le maître de tes frères et que les fils de ta mère se courbent devant toi. Maudit soit quiconque te maudira, et quiconque te bénira, qu'il soit rempli de bénédictions. »
Isaac avait à peine achevé ces paroles et Jacob venait de sortir, lorsque Ésaü, son frère, revint de la chasse. Il fit aussi un mets, qu'il porta à son père ; et lui dit : « Lève-toi, mon père, et mange du gibier de ton fils, afin que ton âme me bénisse. » Isaac lui dit : « Qui es-tu ? » Et il répondit : « Je suis Ésaü, ton fils aîné. » Isaac, frappé d'une profonde stupeur, en fut abasourdi au-delà de tout ce qu'on peut imaginer ; il dit : « Qui est donc celui qui a chassé du gibier, et me l'a déjà apporté ? J'ai mangé de tout avant ton arrivée et je l'ai béni. Aussi sera-t-il béni. » Lorsque Ésaü eut entendu les paroles de son père, il jeta un grand cri et, consterné, il dit : « Bénis-moi, moi aussi, mon père. » Isaac dit : « Ton frère est venu avec ruse, et il a pris ta bénédiction. » Ésaü dit : « On l'a bien nommé Jacob, car il m'a supplanté deux fois : il a pris mon droit d'aînesse, et voilà maintenant qu'il a pris ma bénédiction. » Et il dit de nouveau à son père : « N'as-tu pas réservé de bénédiction pour moi ? » Isaac répondit : « Je l'ai établi ton maître et je lui ai donné tous ses frères pour serviteurs, et je l'ai pourvu de blé et de vin : que puis-je donc faire pour toi, mon fils ? » Ésaü lui dit : « N'as-tu qu'une seule bénédiction, mon père ? Bénis-moi aussi, je t'en conjure. » Comme il élevait la voix et pleurait, Isaac fut ému et lui dit : « Ta bénédiction sera dans la graisse de la terre et dans la rosée du ciel. »
GRADUEL Psaume 91, 2-3
Bonum est confitéri Dómino : et psállere nómini tuo, Altíssime. ℣. Ad annuntiándum mane misericórdiam tuam, et veritátem tuam per noctem.
Il est bon de louer le Seigneur et de chanter votre nom, ô Très-Haut. ℣. Pour annoncer le matin votre miséricorde et votre vérité durant la nuit.
✛ ÉVANGILE selon saint Luc 15, 11-32
In illo témpore : Dixit Iesus pharisǽis et scribis parábolam istam : Homo quidam hábuit duos fílios, et dixit adolescéntior ex illis patri : Pater, da mihi portiónem substántiæ, quæ me cóntingit. Et divísit illis substántiam. Et non post multos dies, congregátis ómnibus, adolescéntior fílius péregre proféctus est in regiónem longínquam, et ibi dissipávit substántiam suam vivéndo luxurióse.
Et postquam ómnia consummásset, facta est fames válida in regióne illa, et ipse cœpit egére. Et ábiit, et adh.sit uni cívium regiónis illíus. Et misit illum in villam suam, ut pásceret porcos. Et cupiébat implére ventrem suum de síliquis, quas porci manducábant : et nemo illi dabat. In se autem revérsus, dixit : Quanti mercennárii in domo patris mei abúndant pánibus, ego autem hic fame péreo ? Surgam, et ibo ad patrem meum, et dicam ei : Pater, peccávi in cælum et coram te : iam non sum dignus vocari fílius tuus : fac me sicut unum de mercennáriis tuis. Et surgens venit ad patrem suum.
Cum autem adhuc longe esset, vidit illum pater ipsíus, et misericórdia motus est, et accúrrens cécidit super collum eius, et osculátus est eum. Dixítque ei fílius : Pater, peccávi in cælum et coram te, iam non sum dignus vocari fílius tuus. Dixit autem pater ad servos suos : Cito proférte stolam primam, et indúite illum, et date ánulum in manum eius, et calceaménta in pedes eius : et addúcite vítulum saginátum et occídite, et manducémus et epulémur, quia hic fílius meus mórtuus erat, et revíxit : períerat, et invéntus est. Et cœpérunt epulári.
Erat autem fílius eius senior in agro : et cum veníret, et appropinquáret dómui, audívit symphóniam et chorum : et vocávit unum de servis, et interrogávit, quid hæc essent. Isque dixit illi : Frater tuus venit, et occídit pater tuus vítulum saginátum, quia salvum illum recépit. Indignátus est autem, et nolébat introíre. Pater ergo illíus egréssus, cœpit rogáre illum. At ille respóndens, dixit patri suo : Ecce, tot annis sérvio tibi, et numquam mandátum tuum præterívi, et numquam dedísti mihi hædum, ut cum amícis meis epulárer : sed postquam fílius tuus hic, qui devorávit substántiam suam cum meretrícibus, venit, occidísti illi vítulum saginátum. At ipse dixit illi : Fili, tu semper mecum es, et ómnia mea tua sunt : epulári autem et gaudére oportébat, quia frater tuus hic mórtuus erat, et revíxit : períerat, et invéntus est.
En ce temps-là, Jésus dit aux pharisiens et aux scribes cette parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : "Père, donne-moi la part de bien qui me revient." Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
« Après qu'il eut tout dépensé, un grande famine survint en ce pays ; et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla se mettre au service d'un habitant du pays, qui l'envoya garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des gousses que les pourceaux mangeaient ; mais personne ne lui en donnait. Étant rentré en lui-même, il dit : "Combien de mercenaires, chez mon père, ont du pain en abondance, et moi je meurs de faim ici ! Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j'ai péché contre le ciel et contre toi ; je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme un de tes mercenaires." Il se leva donc et alla vers son père.
« Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. Le fils lui dit : "Père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils." Le père dit à ses serviteurs : "Apportez vite la plus belle robe pour l'en revêtir ; mettez-lui un anneau au doigt, et des sandales aux pieds. Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons, et réjouissons-nous ; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé." Et ils commencèrent à festoyer.
« Or le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses. Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était. Ce serviteur lui dit : "Ton frère est de retour, et ton père a tué le veau gras, parce qu'il l'a retrouvé sain et sauf." Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit l'en prier. Mais il répondit à son père : "Voilà tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. Et dès que ton fils que voici est revenu, lui qui a dévoré ton bien avec des courtisanes, tu as tué pour lui le veau gras !" Mais son père lui dit : "Mon fils, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi ; mais il fallait bien faire un festin et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé." »
OFFERTOIRE Psaume 12, 4-5
Illúmina óculos meos, ne umquam obdórmiam in morte : ne quando dicat inimícus meus : Præválui advérsus eum.
Illuminez mes yeux, de peur que je ne m'endorme dans la mort, de peur que mon ennemi ne dise un jour : « J'ai prévalu contre lui. »
SECRÈTE
His sacrifíciis, Dómine, concéde placátus : ut, qui própriis orámus absólvi delíctis, non gravémur extérnis. Per Dóminum.
Apaisé par ces sacrifices, faites, Seigneur, que nous qui demandons l'absolution de nos propres délits, ne trouvions pas pesants ceux d'autrui. Par...
PRÉFACE DU CARÊME
Vere dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi semper et ubíque grátias ágere : Dómine, sancte Pater, omnípotens ætérne Deus :
Qui corporáli jejúnio vitia cómprimis, mentem élevas, virtútem largíris et prǽmia : per Christum Dóminum nostrum.
Per quem maiestátem tuam laudant Angeli, adórant Dominatiónes, tremunt Potestátes. Cæli cælorúmque Virtútes ac beáta Séraphim sócia exsultatióne concélebrant. Cum quibus et nostras voces ut admítti iúbeas, deprecámur, súpplici confessióne dicentes.
Il est vraiment juste et nécessaire, c'est notre devoir et notre salut de vous rendre grâces toujours et partout, Seigneur, Père saint, Dieu éternel et tout-puissant.
Par le jeûne corporel, vous réprimez les vices, vous élevez l'âme, vous donnez largement la vertu et ses récompenses, par le Christ notre Seigneur.
C'est par lui que les Anges louent votre majesté, que les Dominations l'adorent, que les Puissances la révèrent, que les Cieux et les Vertus des cieux, ainsi que les bienheureux Séraphins, la célèbrent dans une même allégresse. À leur chants nous vous supplions de laisser se joindre aussi nos voix, pour proclamer dans une humble louange...
COMMUNION Luc 15, 32
Opórtet te, fili, gaudére, quia frater tuus mórtuus fúerat, et revíxit : períerat, et invéntus est.
Il faut te réjouir, mon fils : car ton frère était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé.
POSTCOMMUNION
Sacraménti tui, Dómine, divína libátio, penetrália nostri cordis infúndat : et sui nos partícipes poténter effíciat. Per Dóminum.
Que la divine libation de votre sacrement, Seigneur, pénètre au fond de notre cœur, et nous fasse puissamemnt entrer dans sa participation. Par...
ORAISON SUR LE PEUPLE
Orémus. Humiliáte cápita vestra Deo.
Prions. Humiliez vos têtes devant Dieu.
Famíliam tuam, quǽsumus, Dómine, contínua pietáte custódi : ut, quæ in sola spe grátiæ cæléstis innítitur, cælésti étiam protectióne muniátur. Per Dóminum.
Nous vous en prions, Seigneur : dans votre continuelle bonté, gardez votre famille ; en sorte que, s'appuyant sur la seule espérance de la grâce céleste, elle soit aussi fortifiée de la protection du ciel. Par...